Emanuel Gat se lance à son tour dans la ronde... celle d’un spectacle tout public. Il entend réunir des danseurs de différents styles urbains et de la musique pour donner le rythme. Une ode aux mouvements à partager en famille.
What is the NEXT step? The Israeli choreographer Emanuel Gat reveals the mechanism behind a choreography in his first collaboration with the dancers of ICK. Making a dance performance requires an infinite number of choices and for NEXT he is looking for the only right choice. Not with a specific plan or idea, but from intuition and the intelligence of the body. Dance as an algorithm.
The first new production to be presented by the Czech National Ballet in the current season is the mixed bill Timeless, scheduled to receive its premiere on 20 October 2017. It is made up of three choreographies. The first of them, George Balanchine’s Serenade, and the final one, Glen Tetley’s Le sacre du printemps, rank among the most celebrated ballet works. The second, Separate Knots, is a piece directly created for the Czech National Ballet by the Israeli choreographer Emanuel Gat to Fryderyk Chopin’s music.
Le chorégraphe israélien Emanuel Gat est applaudi dans le monde entier pour son travail qui « sait comment mêler tradition et artisanat ». En tant que directeur artistique d'Emanuel Gat Dance en France, sa voix originale est d'une rare beauté et humanité qui engloutit la scène avec une spiritualité, architecture, intelligence et intimité expansives. Le Ballet BC est heureux de collaborer avec Gat et d'exposer notre public aux multiples facettes de son esprit exceptionnellement créatif.
With the Jin Xing Dance Theatre, the company of China’s most popular contemporary choreographer and TV host makes its first appearance at Kampnagel. TRINITY is a three-part evening that includes a choreography by Jin Xing as well as works by two internationally renowned colleagues: Emanuel Gat and Arthur Kuggeleyn.
En confiant à Emanuel Gat une création pour le Ballet, l’Opéra de Lyon a fait le double choix de l’invention et de l’exigence. Car si le chorégraphe d’origine israélienne n’a abordé la danse qu’à l’âge de 23 ans après une première carrière de sportif et de musicien, il a depuis, mis les bouchées doubles et renouvelé l’approche du mouvement. A la fois sensible et abstrait, son langage chorégraphique s’appuie d’abord sur la musique, dont le choix est pour lui si déterminant qu’il lui arrive, comme dans l’une de ses précédentes pièces Brillant Corners, d’écrire lui-même la partition. Accompagné ici par les musiciens de l’Opéra de Lyon, il a choisi de créer une pièce collective à laquelle les danseurs du Ballet apportent chacun leur part de créativité, dans un processus de travail à mi-chemin entre rigueur et improvisation.
À travers des changements continus et une altération des perceptions visuelles et auditives, le travail explore et questionne les comportements de groupes et la navigation de leurs individus. Bien qu'un assemblage de structures complexes, "Ida?" est néanmoins un travail qui tourne autour de l'évidence et de l'immédiateté de la présence humaine. - American Dance Festival
Qu'est-ce qu'un « tête à tête » avec soi-même? Que se passe-t-il lorsque ce « face à face » se manifeste dans un processus de mouvement artistique et que l'intimité de son propre discours artistique est rendue publique? Nous avons invité le chorégraphe de renommée internationale Emanuel Gat à faire exactement cela. Pour créer deux pièces qui expriment et communiquent deux qualités différentes de son travail - une observation consciencieuse de la diversité dans son exploration du mouvement.
Morgan's Last Chug, est une étude sur la temporalité en couches. Un regard multiforme sur l'expérience du temps qui passe, tant au niveau chorégraphique qu'audible. À travers une série de variations implacables, utilisant différentes modalités de composition temporelle, les danseurs explorent la danse comme une pratique intrinsèquement musicale, mettant en avant ses aspects temporels et ses mécanismes. Le monologue convaincant de "Krapp's last tape" de Beckett, en soi un contrepoint théâtral entre le texte vivant et enregistré, met en évidence les manières innombrables dans lesquelles l'expérience humaine est habitée et accentuée par le temps qui passe.
Emanuel Gat est le chorégraphe qui prend actuellement d'assaut l'Europe avec ses chorégraphies impressionnantes, où il se concentre sur la relation humaine. C'est beau, intense et joyeux. Pour le Royal Ballet, il crée une œuvre avec quatre danseurs sur une musique de Schubert.
Rafraîchissant, apaisant, stimulant, l'art d'Emanuel Gat cultive le plaisir de danser en se situant à la rencontre de la ligne - fluide, élégante, musicale - et du point. Point de broderie, qui humanise de ses minuscules énigmes la beauté de son oeuvre. Chez lui, la danse est innée. « Mon style ? C'est la danse que je fais ! Je suis très influencé par la danse classique ou néoclassique même si je n'ai pas les bases, peut-être cela vient-il de la musique. » 'Organizing Demons' est une pièce composée de 6 danseurs, qui est tout à la fois raffinée et robuste, sensuelle et audacieuse. - Pierre Aimar, Sortir ici et ailleurs
La création d’Emanuel Gat Préludes & fugues n’est pas une tentative d’illustration du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach mais une proposition de coexistence de la chorégraphie et de la musique. Dans cette pièce hors-norme, danse et musique se côtoient, interagissent et cohabitent dans un même espace. Les danseurs du Ballet du Grand Théâtre de Genève semblent jouer leur propre partition. Entre piano et profond silence, ils nous livrent un ensemble de scènes comparable à ce que l’on observe dans la rue depuis sa fenêtre. Le public conserve alors toute sa liberté d’interprétation et d’imagination face à ses instants de vie dont il est le témoin.
L'Opéra National du Rhin ouvre sa saison 2010-2011 de danse avec "Empty Spaces", un spectacle qui regroupe deux pièces et deux metteurs en scène. "Observation Action" d'Emanuel Gat et "Empty House" de Johan Inger. A découvrir à Colmar le 9 novembre 2010 et à Strasbourg du 17 au 21 novembre.
Les 14 danseurs exceptionnels de Sydney Dance Company ont été le moteur du processus créatif de Satisfying Musical Moments. Tout au long des répétitions, c'est leur créativité qui a généré ce voyage chorégraphique inspirant.
Satisfying Musical Moments est une invitation à rejoindre ce groupe remarquable d'individus, plongeant dans des structures chorégraphiques complexes et des moments intimes de drame humain.
Le chorégraphe Emanuel Gat passionne avec son attention aux détails et la création d'un beau septuor fluide. Interprété sur une partition pour piano par Johann Sebastian Bach, ce morceau complexe est construit comme une seule séquence de mouvement qui évolue et se déploie en duo, en trio ou en solo.
C’est un groupe de femmes, austères et attentives les unes aux autres comme le suggère le titre Hark !, qui signifie «attention extrême» en anglais élisabéthain. Pour cette première création pour le Ballet de l’Opéra national de Paris, le chorégraphe israélien Emmanuel Gat a fait confiance au corps de ballet en choisissant une choryphée (Amélie Lamoureux) et un sujet (Stéphanie Romberg) pour les rôles principaux. Retrouvant le hiératisme des Willis ou des Cygnes des deuxièmes actes des ballets blancs, ces amazones guerrières sont des biches aux aguets qui semblent à la fois lutter pour le pouvoir et pour leur survie. - ResMusica
Pour sa première collaboration avec le Festival Suresnes Cités Danse, Emanuel Gat a décidé de conserver son mode de fabrication libre et sans a priori. S’il se sent proche du hip hop par son côté direct et immédiat, Emanuel Gat est entré en studio sans plan établi, et a dégagé peu à peu les grandsaxes de la pièce, en complicité étroite avec les interprètes. “J’ai généralement déjà choisi la musique lorsque je commence les répétitions d’un spectacle, mais pas toujours” précise-t-il. “Je préfère me lancer et voir comment les choses et les gens m’emportent. Il s’agit plus d’être aux aguets des possibilités qui apparaissent sur le moment, plutôt que de forcer un concept préalablement fixé.” Lors des auditions, Emanuel Gat a choisi cinq danseurs masculins hip hop comme il choisirait des danseurs contemporains. “Leur habileté et capacité à utiliser la danse comme outil de communication, avec cette touche spéciale qu’est l’originalité et qu’on ne peutpas définir”, tels sont ses critères de sélection.